24novembre20décembre2024
Exposition – Home sweet home. Poétique de l'espace
Le dimanche 24 novembre à 10h00
Galerie Terra Viva 14 rue de la Fontaine 30700 Saint-Quentin-la-Poterie
Maison rêvée, intimité protectrice, cocon bienveillant et familial, mais aussi maisons accolées, urbanité, les sept artistes invités pour cette fin d'année nous proposent des variations, du verre à la terre, autour de ce thème rassembleur.
Maison à toit pentu, cabanes, usines, maison-refuge, maison abandonnée… La maison est le foyer de l'imaginaire.
Maison rêvée, intimité protectrice, cocon bienveillant et familial, mais aussi maisons accolées, urbanité, les sept artistes invités pour cette fin d’année nous proposent des variations, du verre à la terre, autour de ce thème inépuisable qui en appelle tant au personnel qu’au collectif.
Quelques mots sur les 7 artistes invités :
> La céramiste Sandrine Brioude a fait de l’architecture l’objet de son travail, attentive aux lignes qui structurent l’espace et dessinent une “géographie émotionnelle des lieux”.
Avec la pureté de ses formes, la simplicité de ses textures sur ses pièces de grès noir ou en porcelaine, son univers, empreint de nos rêves d’enfant, nous emporte vers d’autres paysages, évoquant au passage l’exode ou l’écologie.
> À la lisière de la ville, Pauline Bétin propose à travers ses sculptures en pâte de verre une vision d’un monde utopique, composés de fragments, mêlant nature et culture, où images et volumes se répondent et se mélangent.
Après la création d’un moule unique, un travail patient de sculpture et de polissage révèle les effets multiples et les contrastes de ce matériau revisité.
> Maison refuge ou maison prison ? Le thème de l’espace contraint est apparu dans le travail d’Agnès Baillon lors du confinement de 2020.
Des maisons-cachettes en céramique percées de fenêtres où l’on retrouve ses figures emblématiques cadrées sur l’élément essentiel de l’artiste : les yeux. Des regards curieux, inquiets ou mélancoliques… à travers eux se lit notre rapport au monde extérieur.
> C’est aussi notre rapport au monde qu’explore Catherine Le Guirriec avec ses maisons de verre. L’exposition se concentre sur ses tableaux, nés de sa maîtrise de l’art du vitrail, qu’elle appelle ses “tableaux Ti” (“maison” en breton). Graphisme et lumière s’y conjuguent : la silhouette de la maison de verre coloré entre en dialogue avec un dessin sous-jacent, évoquant jardin intérieur ou chaleur du cadre familial.
> Elle ne façonne pas des maisons mais elle nous révèle impudiquement ce qui s’y passe ! Capucine Pageron transcrit dans la terre son univers graphique frais et foisonnant. Ses petits décors, comme tirés d’un film d’animation, nous promènent avec délice d’une pièce à l’autre de la maison, jusqu’aux espaces les plus intimes. Son univers miniature, composé dans un charmant camaïeu bleu/violet, fourmille de mille détails esquissés.
> Jeux de construction aux couleurs acidulées, les sculptures en porcelaine de Jules Bouteleux nous ramènent un peu vers l’enfance mais nous tirent aussi loin ailleurs. Inspirées des paysages de l’Ouest américain, comme un nouveau western, ses scénettes renvoient aussi à nos friches, entre ruralité et urbanité. Une vision rafraîchissante de ces espaces délaissés, ces “no man’s lands”, espaces oubliés traités ici avec tendresse.
> Les maisons de Mélanie Duchaussoy sont, comme toutes ses créations, hybrides. Elles empruntent à l’animal des pattes, une ou deux têtes, qui les éloignent de la stabilité inhérente à notre perception ordinaire. Ses recherches de textures d’émaux leur offrent une patine, une sédimentation de matière qui leur confère une antique majesté.
———
** Informations pratiques :
– Vernissage : le dimanche 24 novembre 2024 à 11h30,
en présence d’artistes.
– Exposition ouverte du jeudi au dimanche, puis tous les jours pendant les vacances de 10h à 13h et de 14h30 à 18h.
Fermé le 25/12 et le Ier/01.
Renseignements : 04.66.22.48.78 et sur le site de la galerie
Maison rêvée, intimité protectrice, cocon bienveillant et familial, mais aussi maisons accolées, urbanité, les sept artistes invités pour cette fin d’année nous proposent des variations, du verre à la terre, autour de ce thème inépuisable qui en appelle tant au personnel qu’au collectif.
Quelques mots sur les 7 artistes invités :
> La céramiste Sandrine Brioude a fait de l’architecture l’objet de son travail, attentive aux lignes qui structurent l’espace et dessinent une “géographie émotionnelle des lieux”.
Avec la pureté de ses formes, la simplicité de ses textures sur ses pièces de grès noir ou en porcelaine, son univers, empreint de nos rêves d’enfant, nous emporte vers d’autres paysages, évoquant au passage l’exode ou l’écologie.
> À la lisière de la ville, Pauline Bétin propose à travers ses sculptures en pâte de verre une vision d’un monde utopique, composés de fragments, mêlant nature et culture, où images et volumes se répondent et se mélangent.
Après la création d’un moule unique, un travail patient de sculpture et de polissage révèle les effets multiples et les contrastes de ce matériau revisité.
> Maison refuge ou maison prison ? Le thème de l’espace contraint est apparu dans le travail d’Agnès Baillon lors du confinement de 2020.
Des maisons-cachettes en céramique percées de fenêtres où l’on retrouve ses figures emblématiques cadrées sur l’élément essentiel de l’artiste : les yeux. Des regards curieux, inquiets ou mélancoliques… à travers eux se lit notre rapport au monde extérieur.
> C’est aussi notre rapport au monde qu’explore Catherine Le Guirriec avec ses maisons de verre. L’exposition se concentre sur ses tableaux, nés de sa maîtrise de l’art du vitrail, qu’elle appelle ses “tableaux Ti” (“maison” en breton). Graphisme et lumière s’y conjuguent : la silhouette de la maison de verre coloré entre en dialogue avec un dessin sous-jacent, évoquant jardin intérieur ou chaleur du cadre familial.
> Elle ne façonne pas des maisons mais elle nous révèle impudiquement ce qui s’y passe ! Capucine Pageron transcrit dans la terre son univers graphique frais et foisonnant. Ses petits décors, comme tirés d’un film d’animation, nous promènent avec délice d’une pièce à l’autre de la maison, jusqu’aux espaces les plus intimes. Son univers miniature, composé dans un charmant camaïeu bleu/violet, fourmille de mille détails esquissés.
> Jeux de construction aux couleurs acidulées, les sculptures en porcelaine de Jules Bouteleux nous ramènent un peu vers l’enfance mais nous tirent aussi loin ailleurs. Inspirées des paysages de l’Ouest américain, comme un nouveau western, ses scénettes renvoient aussi à nos friches, entre ruralité et urbanité. Une vision rafraîchissante de ces espaces délaissés, ces “no man’s lands”, espaces oubliés traités ici avec tendresse.
> Les maisons de Mélanie Duchaussoy sont, comme toutes ses créations, hybrides. Elles empruntent à l’animal des pattes, une ou deux têtes, qui les éloignent de la stabilité inhérente à notre perception ordinaire. Ses recherches de textures d’émaux leur offrent une patine, une sédimentation de matière qui leur confère une antique majesté.
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** Informations pratiques :
– Vernissage : le dimanche 24 novembre 2024 à 11h30,
en présence d’artistes.
– Exposition ouverte du jeudi au dimanche, puis tous les jours pendant les vacances de 10h à 13h et de 14h30 à 18h.
Fermé le 25/12 et le Ier/01.
Renseignements : 04.66.22.48.78 et sur le site de la galerie
Thèmes
- Art moderne / contemporain
Toutes les dates et horaires
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